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Entreprendre

Non, le business en ligne n’est pas fait pour tout le monde

  • Chris
  • 25 janvier 2020
  • Entreprendre
  • 0 comments

Je vais te dévoiler le gros secret que tous les vendeurs de formations se gardent bien de ne jamais évoquer au risque de faire chuter leur taux de transformation.

Ils doivent vendre, alors tu dois acheter
...et pour cela, tu risques de te faire manipuler

Ce qui me saoule particulièrement, c’est d’entendre ces pseudos formateurs vous dire que gagner du cash c’est facile et que si lui a réussi alors tout le monde peut réussir.

Je te le dis clairement, ça c’est de la merde en barre. C’est juste une pilule pour te faire sortir ta CB, comme lorsqu’ils te disent que si tu n’as pas réussi, ce n’est pas de ta faute, c’est juste que t’avais pas la bonne méthode.
Tu retiens bien ? LA MÉTHODEEEEEEE.

Alors lis bien ceci, tous les business sont différents et appellent des compétences et des qualités différentes, et ce n’est pas parce qu’on est sur Internet que cela change la donne.

Tout le monde n’est pas fait pour entreprendre, et tout le monde ne peut pas être un bon entrepreneur.  

On se retrouve aujourd’hui avec de plus en plus de formations de piètre qualité vendues grâce à des techniques de persuasion à la limite de l’arnaque (et bien entendu, certains ont déjà franchi la ligne rouge).

Le business de base c’est de la création de valeur qu’on cède en contrepartie des compensations financières.
Si tu veux plus de cash que la moyenne, mieux vaut être entrepreneur que salarié, mais être entrepreneur demande des qualités que tout le monde n’a pas en magasin naturellement.

Pour moi, il faut 4 conditions pour se donner des chances de réussir : 

  • Aimer ce qu'on fait,
  • Etre curieux,
  • Avoir les crocs (détermination),
  • Accepter la prise de risque (le succès comme l'échec).

Mais ça, ça te permet juste de te lancer, car se lancer n’est pas gage de résultat. 2 personnes avec les qualités ci-dessus, ne performeront pas de la même manière sur un même business. Si tous les deux se lancent par exemple dans le trading, et qu’à compétences égales, l’un d’eux est plutôt émotif, il y a de grande chance que ce dernier finisse dans le rouge.

Il faut prendre en considération que certaines de nos caractéristiques psychologiques et génétiques peuvent devenir des atouts comme des failles dans certains business.

Tiens, je t’ai fait ce schéma pour résumer ma pensée :

Le problème c’est qu’aujourd’hui, tout le monde veut gagner du cash en ligne, en automatique et en dormant. Les marketeurs/formateurs de la première heure se sont fait un tas de pognon sur le dos des rêveurs.

Les rêveurs achètes, puis exécutent la formation pour finalement échouer la plupart du temps. Puis un nouveau Marketeur propose une nouvelle formation avec une nouvelle méthode et puis, bien sur, avec pleins de secrets que personne ne t’as jamais dévoilés.

Normalement, tu te fais siphonner 2 ou 3 fois. Sauf qu’entre temps, tu te sens coupables d’avoir dépenser ton blé mais aussi de n’avoir rien pu générer de correct.

Aujourd’hui, une deuxième vague de « formateur » est maintenant opérationnelle (formée par la première), cette deuxième vague va cravacher plus dur car la concurrence est maintenant bien présente, voir sur certains secteur comme les formations Marketing, la saturation n’est pas loin.

Ceux qui ont les crocs et qui veulent du cash rapide, s’improvisent experts, créé des formations qui sont le portrait craché de la formation qu’ils ont eux même achetée.

On assiste à un étalage de pubs de théoriciens peu chevronnés qui éduquent des noobs en quête d’argent facile.

Sauf que comme il y a plus de concurrence, certains franchissent les lignes rouges et promettent tout et n’importe quoi pour vendre leur produit.

QUID du résultat ?
Un taux d’insatisfaction et d’échec important.

C’est ce qui se passe lorsqu’un étudiant se retrouve face à la réalité du marché. Le rêve s’épuise assez vite.

Pourtant, les formations en ligne, c’est pour moi une chose magnifique. Je le pense sincèrement.
Le problème c’est quand quelque chose de nécessaire pour l’humanité se fait capturer par le marché. A l’instar de la spéculation sur le blé.
Dans l’idéal, je souhaiterais que tout ce savoir soit disponible gratuitement, et accessible à tous passer un certains temps. Mais, il faut bien stocker ce savoir, le mettre en forme de manière ergonomique et pédagogique. Cela demande quand même du taf.

Retour d’expérience : Entreprise en Estonie

  • Chris
  • 9 novembre 2019
  • Entreprendre
  • 0 comments

Petit retour d’expérience si tu souhaites créer ton business en Estonie.

Je suis e-résident Estonien depuis plus d’un an maintenant…j’avais pris cette décision un peu en mode Geek pour tester le concept. Quelques jours après avoir pris possession du sésame, j’ai décidé d’ouvrir une boîte la-bas afin de ne pas avoir tout mes œufs dans le même panier (France) mais également parce que je partage leur façon de traiter l’entreprise en n’imposant pas les bénéfices non distribués et qui laisse ainsi de meilleures manœuvres pour réinvestir si besoin.

Carte de e-résident Estonien

Je suis donc le détenteur d’une carte à puce ainsi qu’une clé de lecture USB pour pouvoir lire cette carte depuis mon ordinateur et ainsi communiquer avec l’administration Estonienne en toute confidentialité.

Pour info, j’ai créé une société de type OÜ qui est l’équivalent d’une SARL en France. Le capital minimum est de 2500€ mais il peut être versé durant les 10 premières années.

Bref, depuis la France, je n’ai pas eu de souci à la l’époque pour créer cette société derrière mon écran, pas de souci non plus pour trouver un service de domiciliation, mais pour ce qui est de la banque, ça n’a pas été le même refrain.

Il y a un an, je n’avais qu’une option possible sans me déplacer : Holvi … alors je l’ai prise à contre-coeur car 2 choses me gênaient d’entrée :

  • Holvi n’est pas une banque estonienne mais une société Finlandaise disposant d’un agrément pour opérer des mouvements financiers sur le territoire Estonien.
  • les frais mensuels sont de 35€ pour un e-resident avec un service classique. On sent qu’on a servi de vache à lait.

À partir de là, j’ai voulu utiliser Stripe pour l’encaissement sur un de mes nouveaux projets. Je savais que Stripe n’était pas dispo en Estonie (à l’époque) mais peut-être que mon IBAN Finlandais pouvez finalement être ma solution.

Dossier rejeté par Stripe. Dommage…mais bon, imagine toi la tête du mec qui doit valider ça :  Un gérant Français d’une société estonienne avec un IBAN Finlandais.

Du coup, je teste avec le concurrent de Stripe : Braintree
Rebelote, malgré que Braintree soit ouvert en Estonie :

As an Estonian business, you must enter an Estonian IBAN to proceed with account setup. Regardless of HOLVI’s rules/regulations, we cannot use your Finland bank account. 

Youpi, je ne peux donc pas encaisser des paiements par carte pour le moment. Holvi a bien un service de type shop, mais…c’est mal fait, en anglais et pas du tout flexible pour mon activité….ça peut peut-être faire l’affaire pour une dizaine de produit 🙂

Quelques semaines passent, et boom…ils me bloquent entièrement mon compte sans message préalable avant de me demander de nouvelles infos sur mon activité….et quand je dis entièrement, je ne pouvais même pas me connecter pour faire un virement, voir mon solde, même la fonction shop ne fonctionnait plus….whouuaaa, comment faire confiance à ces gars là quand ils peuvent mettre en péril ton activité en 1 clic ! Bon perso, ça n’a rien changé pour moi… sauf ma perception de leur service qui venait d’en prendre encore un sacré coup.

Puis, après plusieurs mois et quelques transactions de clients en mode prestation, j’ai eu la mauvaise idée de vouloir lancer un p’tit service autour de la crypto, rien de bien important, juste parce que je suis un geek et que ça m’faisait plaisir. Du coup, j’ai du faire quelques virements sur un exchange de renom. Et bing, quelques semaines plus tard, je reçois un mail pour m’informer que mon compte était définitivement fermé, clôturé, à jamais. Bisous, tu peux fermer boutique. Bon là, j’étais un peu en mode furax d’avoir du dépendre d’eux si longtemps pour en arriver là. J’aurais préféré être à l’initiative mais je reprend ma tune et passe en mode Yoda.

Du coup, je me réorganise dans l’urgence et je laisse la société quelques semaines en repos. 

Après quelques réflexion, je me dis qu’il serait peut-être plus sage de me déplacer pour ouvrir un compte directement en Estonie. 

Et alors que nous étions en Roumanie depuis 3 mois, je regardais les billets d’avion pour bouger sur Tallinn. Sauf que laisser ma femme et mes 3 enfants, ça n’allait pas le faire. 

Après un nouveau mois à l’est en Moldavie, nous descendions pour l’Ukraine, et c’est finalement ici que nous avons décidé d’aller en Estonie en voiture. Du coup, c’est en mode escargot que nous avons pris la route avec une grosse halte d’un mois en Pologne pour éviter de faire trop de route en 1 fois. C’est donc finalement en Août qu’on s’est retrouvé sur Parnu, en Estonie.

Dès la première semaine, je me suis vite rendu compte que mon cas spécifique devrait se traiter sur Tallinn, alors avant de faire 2h de route pour y aller, j’ai envoyé quelques mails. 

Oh Estonie, ho désillusion. Voici la réponse identique de 2 grosses banques Estonienne :

To have an account you need to have some kind of connection with Estonia through partners, customers or someone similar.
The opening of the account is decided in committee and this may take weeks. We will look through your application and then inform you about our decision. 

À cela s’ajoute des frais de dossier entre 200€ pour l’une et 500€ pour l’autre, avec une information cruciale : il n’y a aucune assurance que la réponse soit positive et les frais ne seront pas remboursés.

Le statut de e-résident n’étant pas considéré comme une connection recevable avec l’estonie, je ne remplissais pas du tout les conditions d’ouvertures d’un compte. Je n’avais ni l’envie de tester pour perdre mon argent, et je ne voulais certainement pas attendre 3 semaines pour me faire recaler. Je comprenais que ces règles étaient justement là pour nous empêcher, nous e-résidents, d’accéder à un compte bancaire Estonien. Je n’étais pas dans les clous, je n’obtiendrai pas de compte.

Donc après avoir pleuré (ça n’a pas duré bien longtemps car les paysages sont quand même très beaux 😉 ), j’ai émis la possibilité de nous installer ici quelques mois … ou encore de louer une chambre à l’année pour obtenir le statut de résident (et non plus e-resident). Avec ce genre de pensés, tu peux voir le genre de mec que je suis pour obtenir ce qu’il veut 😀  …. bref on tournait sur la tête…et ça ne me plaisait pas.

La solution est en fait arrivée tranquillement, sur le chemin pour la croatie, un mail de Stripe qui m’informait qu’ils venaient d’ouvrir en Estonie. Yeah…heu…ah oui je n’ai toujours pas de banque…mais j’ai maintenant le serveur de paiement. Et en creusant une recherche sur les offres pro dans la fintech, j’ai lu que Revolut avait lancé une offre pro. Alors j’ai mis le pied dedans, avec tous les doutes du monde, pour vérifier si la configuration allait passer avec eux.

BINGO! J’ai un peu flippé à un moment, mais c’est passé.

Donc au final, Je suis résident fiscal Français, avec une entreprise en Estonie, une banque en Angleterre et un serveur de paiement américain. 

Montage Entreprise en Estonie + Banque

Ca paraît un montage compliqué, mais pour le moment c’est assez transparent. Rendez-vous dans un an pour faire un réel bilan de cette config.

Tout est maintenant OK. Gawe.fr est prêt…On peut bosser.

Créer un business en ligne, étape par étape

  • Chris
  • 14 octobre 2019
  • Entreprendre
  • 0 comments

Ça y est! Ça te rongeait l’esprit depuis un p’tit moment déjà mais cette fois est différente car tu as eu le déclic, celui qui te pousse à agir malgré les peurs de l’échec.

La peur c’est le premier frein et c’est aussi l’un des plus puissants pour nous immobiliser. Beaucoup te diront ne pas avoir peur, que l’échec fait parti du succès. Et c’est en parti vrai. Par contre, j’ai entendu certains expliquer sans trembler du menton qu’il fallait aimer l’échec.
« Youhou, j’viens de me gauffrer quelle magnifique nouvelle n’est-ce pas ?« 

Non, moi j’te dirais jamais qu’il faut être heureux de se gameller, mais une chose est certaine : le succès arrive rarement sans s’être pris les pieds dans le tapis quelques fois. 

La peur, c’est normal. Mais tu sais comment on affronte ses peurs ? En s’y confrontant…y a pas beaucoup d’autres manières. Le courage est nécessaire pour faire les premiers pas mais tu verras que la réalité n’est pas aussi terrible que tu avais pu te l’imaginer.
Et puis, as-tu beaucoup à y perdre ?

Etape 1 : La validation du projet

Normalement, tu as déjà une petite idée de ce que tu veux faire. Si ce n’est pas le cas, je te renvoi à cet article qui liste une trentaine d’idées de business en ligne.

L’idée c’est déjà ça, mais franchement, c’est la partie la plus facile. A présent, il va falloir vérifier la viabilité. Autrement dit, c’est répondre à la question : Est-ce que je peux gagner ma vie avec cette idée ?

A partir de là, tu entendras certains te dire de faire un business plan avec analyse de la concurrence et un prévisionnel sur 5 ans, etc, etc… Ce sont souvent des comptables, des banquiers, des conseillers partenaires de Pôle-emploi… ahaha oui c’est du vécu. Bref, tu me vois peut-être venir, mais avec m’a p’tite expérience de plus de 10 ans sur le web, voici ma réponse : te fais pas chier avec ça sauf si tu t’engages dans un business qui te demande d’investir plus de 100K€. 

Pourquoi j’te dis ça ? Pour 2 raisons simples :
1 – ça prend beaucoup de temps
2 – tu auras à peine commencer que ton business plan et tes prévisions seront probablement déjà périmés. 

Un business peut évoluer très vite au début… Il faut être entrepreneur pour intégrer ça.

Mais attention, je ne te dis pas de partir tête baisser en mode taureau. Non, moi ce que je te conseille c’est de répondre à plusieurs questions simples : 

Quel est le prix ?
Si tu as plusieurs produits ou services, tu détermines le prix pour chacun, et si tu fais de l’achat/revente, tu détermines la marge à appliquer.

Quel investissement ?
Cela implique aussi bien le temps à consacrer que l’argent utile à mettre sur la table. Si tu as besoin d’avancer de l’argent chaque mois, ça s’appelle un besoin en fond de roulement (BFR). Si tu es dans ce cas, je te conseille d’avoir en tréso au moins 6 mois de BFR pour couvrir ces dépenses.

Existe-t-il marché pour mon offre ?
Et oui, car si j’ai un bon produit mais pas de client, je vais dans le mur. Donc, regarde si tu as de la concurrence, si la réponse est oui, c’est qu’il y a marché dans lequel tu peux t’insérer. Si la réponse est non, alors je te conseille de regarder cette vidéo pour réaliser une offre fictive afin de tâter le terrain.

Puis-je en vivre ?
C’est la question ultime et qui consiste à évaluer rapidement le volume de produits/services à vendre pour atteindre ton objectif financier mensuel. Cet objectif ne doit pas être autre chose que ton revenu net mensuel … c’est à dire ce que tu vas mettre dans ta poche.  Mais pour ça, tu devras passer par la case Chiffre d’Affaire (C.A) puis diviser ce chiffre par ton prix produit (ou un panier moyen).

Admettons que pour un revenu NET de 2000€, il te faille gagner 4000€ de C.A HT (c’est purement à titre d’exemple puisque je ne connais ni ton statut, ni tes charges.)

Alors  : 4000€ HT / 40€ HT = 100 
Dans cet exemple, je dois vendre 100 produits à 40€ HT pour avoir un C.A de 4000€ HT par mois. Ce C.A me permettra de me payer 2000€ une fois toutes mes charges réglées. 

Si tu penses pouvoir vendre ces 100 produits en 1 mois, alors tu peux passer à l’étape suivante. Si non, tu vas devoir retravailler ta copie.

 

Etape 2 : La projection du projet

Késako ? C’est simple, tu vas projeter sur un document tout ce que tu as dans la tête et tout ce qu’il faut que ton projet roule. Et pour cela, je n’ai qu’une chose à te dire : va lire cet article qui t’expliquera Comment avancer dans ton projet.

Il est possible qu’à ce stade, tu t’aperçoives que tu vas devoir faire appel à de la prestation ou à l’achat de produits et services.
Si tel est le cas, tu dois repasser par l’étape 1 pour intégrer ces nouvelles dépenses.

Etape 3 : Penser son Marketing

Qui est mon client type ?
(On le nommera Avatar ou Cible client)
C’est très important pour la suite car beaucoup font l’erreur de croire que leur offre est attendue comme le saint Graal, la réalité c’est qu’il va falloir aller chercher vos clients…et pour ça, il faut les reconnaître, d’où l’importance d’esquisser un profil.
Pour savoir comment définir un avatar, tu peux cliquer ici pour lire cet article.

Par quels canaux communiquer pour le toucher ?

De quelle manière lui parler ?

A partir de là, tu vas peut-être avoir des choses à ajouter à ta projection Etape 2

Etape 4 : Établir un plan d'actions

A l’aide de ta mindMap (Etape 2) et de ton Marketing (Etape 3), tu vas pouvoir rédiger une liste d’action à réaliser.

Selon ton business, ça peut être 10 actions à réaliser au quotidien ou 5 le mardi matin et 30 le vendredi soir.

Par exemple, ça pourrait être de répondre à 20 commentaires sur les pages Facebook et Instagram de mes concurrents.
Créer un article le lundi matin et le partager sur les réseaux sociaux pendant 2 heures.

Si tu es un créateur de contenu, tu peux aussi séparer l’aspect créatif et l’aspect production/technique. Tu peux par exemple consacrer le lundi et mardi à la création et le reste du temps à la production.

Etape 5 : Se fixer une date butoir

Ce n’est pas anecdotique puisque tes ressources financières ne sont pas inépuisables. Se fixer une dead line permet de se mettre une pression indispensable afin d’éviter de passer trop de temps sur des tâches de perfectionnement comme hésiter entre 2 couleurs pour ses titres (bleu Navy ou du bleu nuit ?) … cette gesticulation (ré)créative est tellement agréable que certains ont tendance à s’y noyer jusqu’à se prendre pour Picasso pour justifier le temps qu’ils y passe.

Tu sais quoi ? J’ai un Master en Communication visuelle et en lançant ma première boîte, cette erreur je l’ai faite plus que n’importe qui jusqu’à comprendre que le visuel n’était qu’un pure ingrédient cosmétique à ce niveau. Ce que je peux te dire c’est qu’un joli logo ne te fera pas vendre plus, pas plus qu’une nuance de bleu d’ailleurs. Si ton offre n’est pas comprise, si ton prix n’est pas bien positionné, si tu ne communiques pas assez…tu pourras avoir un logo de compét’…ce ne sera qu’un pet foireux (merci les blagues à toto).

J’ai retenu 1 chose durant ces années, tant que ton image ne nuit pas à ton business (par exemple un logo de pigeon mort pixelisé pour un site Vegan) alors tu dois te concentrer d’abord sur ton offre, communiquer fréquemment et trouver la meilleur façon de convertir un prospect en client.

Quand tu auras engrangé du cash, tu pourras améliorer ton image.

Etape 6 : Mettre en place des indicateurs

L’indicateur de base c’est le C.A généré chaque mois, mais tu peux bien entendu en croiser plusieurs pour voir où sont les freins.

Par exemple : Combien d’abonnés YouTube, combien d’abonnés à ma mailing list, quel taux de transformation client sur une campagne, etc.
Tu te créé un ridicule petit fichier excel où tu reporteras les chiffres et où tu pourras voir l’évolution comparative pour chaque période.

Attention à ne pas non plus te noyer la dedans au départ. 5 indicateurs max c’est largement suffisant pour la grande majorité. Tout ça pour dire que si tu restes à 0 en C.A, tes autres indicateurs peuvent peut-être t’apporter des réponses.

Au fait, si au bout d’un mois rien ne bouge alors que tu es en vitesse de croisière, alors il sera peut-être indispensable de revoir ton étape 3 et 4.

Si tu bloques quelque part

Clique ici pour planifier du temps avec moi

Comment avancer dans ton projet

  • Chris
  • 1 octobre 2019
  • Entreprendre
  • 0 comments

Quand on n’a pas grandit dans un environnement entrepreneurial, on peut vite être perdu.
Si tu lis ceci, c’est que c’est certainement ton cas et je dois te dire que tu es loin d’être seul dans ce cas.

Tu as a des envies d’entreprendre avec parfois même un objectif clair mais tu cales sur le chemin à prendre pour l’atteindre. Et tout cela est bien normal quand on se lance, et je vais même t’avouer qu’après plus de 12 ans à lancer des projets web, ça peut encore m’arriver d’être dans le flou quelques heures.

Ce flou est essentiellement du à 2 facteurs : 

  • Un problème pour organiser ses idées et les étapes à suivre
  • Un déficit de connaissances Stratégiques et Techniques

Alors ici, je vais t’expliquer ma méthode quand j’ai besoin d’éclaircir le chemin.

J’utilise un logiciel de mapping (carte mentale) pour lister et organiser mes idées. Perso, j’utilise MindMeister mais il y a pas mal d’offre sur le marché. En tout cas, tu peux tester gratuitement celui-ci  jusqu’à 3 cartes.

Alors, ça ressemble à quoi une carte mentale ?

Le premier des bénéfices est de se vider rapidement la tête car si tu es comme moi, ça peut fourmiller très vite. Tu peux ainsi balancer toutes tes idées (même les plus farfelues) et te libérer de ce poids pour avancer sur la suite.

Une bulle = 1 idée Ca peut être aussi valable pour des informations clé ou des étapes à franchir.

Une fois tes idées posées, tu vas pouvoir les structurer, les organiser. Une partie se fait naturellement parce qu’il y a des liens évidents entre certaines informations.

Par exemple, si tu  mets Créer un site, Acheter un nom de domaine et Ouvrir une boîte postale, tu sens bien que les 2 premiers sont liés, et que tu pourras peut-être les rassembler sous une bulle parente que tu pourras appeler WEB.

Si tu veux voir ma vidéo sur MindMeister, c’est ici

Reste ouvert à la critique

Même si tu es un loup solitaire (comme c’est mon cas), n’hésite pas à partager ta carte avec une ou deux personnes différentes pour avoir des critiques de ta vision.
Et quand je dis partager, tu n’as juste qu’à leur envoyer un lien pour qu’ils puissent visualiser ta carte.
Toutes les critiques argumentées peuvent apporter de l’eau à ton moulin et parfaire ta réflexion…même si ça remet parfois tes certitudes en cause. 
Si tu bosses avec un associé, chacun peut apporter sa pierre à l’édifice en collaborant simultanément sur le même document.
Génial non ?

Et après ? 🤤

Une fois tes idées posées et organisées, il te faut réaliser ce que tu as devant les yeux pour passer à l’action. Et c’est à ce moment que tu vas te confronter à la réalité, une réalité composée d’étape que tu ne comprendras peut-être pas, et où les techniques et les stratégies évoluent très vite .

Comment faire cela ? Quelles solutions pour faire ceci ?

Bref, tu vas devoir apprendre au fur et à mesure. Mais attention, pas n’importe comment. L’erreur que beaucoup font est de se noyer dans la littérature sur un sujet pour retarder le passage à l’action. 

Si tu as déjà fait l’expérience d’acheter une formation Marketing en ligne d’un mec ou une nana que tu aimes bien suivre, tu t’es certainement retrouvé dans la situation suivante : 

  • beaucoup de blabla sympathique mais inutile,
  • les 3/4 des informations ne s’appliquent pas à ton business,
  • certaines techniques ne peuvent pas s’appliquer maintenant, 
  • au final sur 3H, tu te retrouves avec 10 à 20 min exploitables.

Si tu te reconnais là dedans, ça fait cher la minute de formation 😱. 

Je vais te le dire clairement, le taux d’échec des élèves de ces formations est énorme et c’est bien normal car la formation ne s’adapte ni au profil de l’étudiant, ni au business. 

C’est de la production…pas du coaching

Bref, tu as lâché entre 100 et 500 balles en achetant par la confiance et par l’espérance, et tu te retrouves quelques jour tard à calculer la rentabilité de ton achat.
Le pire c’est que t’es toujours aussi paumé parce que l’un de tes freins n’a pas été abordé. Certains abandonnent à cause de ça.
 

C’est amusant, je viens de tomber sur ce témoignage bienveillant d’un acheteur qui explique : « On a tous accumulé, je pense,  des formations de Jean et des autres et elles ont pris la poussière dans les placards ou on n’est jamais vraiment passé à l’action « .
Je dis bienveillant car il vient de repayer pour un canal privé où ils reçoit des formations mais aussi des conseils de Jeannot et des autres participants. Finalement, il concède que c’est l’émulation du groupe associée aux informations échangées qui le pousse à agir. Et ça il le paie presque 200 balles par mois. Pourquoi pas ! Je préfère ce modèle à la formation classique à 100 balles car l’important c’est bien de mettre en application un savoir.

Créer l'alternative

Gawe c’est le Netflix du Marketing.
Pas de promesse de résultat, pas de poudre aux yeux, pas de trompette et surtout on ne vient pas te piller ton cash alors que c’est le nerf de la guerre… surtout quand on se lance.

La différence n'est pas le contenu, c'est le business model et l'état d'esprit.

Ils t’ont tous dit qu’ils allaient t’aider, mais ils ne te connaissent même pas. Il faut que tu comprennent que la chose la plus importante pour eux, c’est le nombre de zéro à la fin du mois. Ils ne s’en cachent pas, ils te font même baver avec ça dans leurs vidéos … et ils le font avec ton argent.

Tous les deux, on ne se connaît pas… ou pas encore 😉 et je ne sais surtout pas ce que tu as comme business. Je ne veux pas te faire payer une expertise qui ne pourrait pas t’aider réellement. 

Tu le sais peut-être, mais une fois le contenu créé, ça ne coûte pratiquement plus rien et comme j’en ai un peu plein le cul de les voir se trémousser avec le pognon de ceux qui en ont besoin, j’ai lancé Gawe. Du contenu accessible en illimité pour 7,90€ / mois et surtout sans engagement. 

BONUS : Tu peux même demander un contenu qui pourra débloquer ta situation et qui aidera certainement d’autres membres de la communauté Gawe.

J'accède aux contenus en illimité

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